Après 6 belles années passées sur Lyon et un passage express par la chaleureuse Maison Nymphéa de Chabeuil, je vous reçois désormais les mardis, jeudis, vendredis et samedis à Alixan. Attention, je ne suis pas dans la maison médicale mais dans la Maison Kalys (derrière la pharmacie, le long de la D538).

Je suis diplômée d’ISOstéo Lyon et j’ai commencé les formations professionnelles pendant ma dernière année d’études et je n’ai pas l’intention de m’arrêter !

J’ai commencé par des formations sur tous les sujets qui m’intéressaient beaucoup puis j’ai remarqué que je voyais beaucoup de femmes et d’enfants en consultation, c’est pourquoi j’ai axé mes formations suivantes dans ces domaines. Je continue à me former, à assister à des conférences et « webinaires », à lire énormément, sur ces sujets et d’autres.

J’aime beaucoup l’ostéopathie « fonctionnelle » qui répond mieux à ma façon de voir le traitement sur du long terme.

Ce que j’aime dans mon métier, c’est vous aider à trouver des solutions, vous accompagner, chercher avec vous parfois d’autres thérapies complémentaires à la mienne pour une prise en charge optimale. Je donne tout pour vous donner un maximum de pistes, que vous vous sentiez en confiance avec vous-même et surtout que vous repartiez de la consultation en étant serein sur la suite.

Je suis formée pour les évaluation et prise en charge de freins buccaux (frein de langue, frein de lèvre, freins de joues) depuis que j’ai été une maman perdue dans la prise en charge pour mes propres enfants et que j’ai suivi les conseils de professionnels sans formation. Ma fille aînée en subit encore les conséquences, je me suis promis qu’aucun de mes patients n’aurait ce même parcours.

Vous avez pu voir mon nom écrit de différentes façon et vous vous demander quel est le vrai, lequel utiliser ? Mon nom complet est « Goulamougaidine » mais je préfère que l’on m’appelle « Goula » car c’est plus facile à retenir et que l’on ne peut pas écorcher ce diminutif. Pour ne pas paraître vous « tromper », je suis quand même obligée d’écrire la suite, d’où « Goula Mougaidine ».